Voyage de Marco POLO en Asie

Posté par Paul-Robert TAKACS le 5 janvier 2015

(Venise 1254 – Venise 1324)

Marchand et voyageur, Marco POLO quitte Venise en 1271, avec son père Niccolò et son oncle Maffeo, à la recherche d’une route commerciale terrestre vers l’Asie. Leur voyage durera 26 ans.

Arrivée à Cambaluc, actuelle Pékin, en 1275 ; longtemps au service de l’empereur mongol Kubilai KHAN, pour lequel ils accompliront plusieurs missions dans des pays étrangers ; de retour en 1295.

Après ce périple de 26 ans, Marco Polo est fait prisonnier par les Génois.

Parmi ses découvertes botaniques, on trouve notamment le café & différentes épices : gingembre, poivrier, muscadier, giroflier…

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L’herbier historique de LAMARCK, numérisé, désormais accessible en ligne !

Posté par Paul-Robert TAKACS le 23 août 2013

L'herbier historique de LAMARCK, numérisé, désormais accessible en ligne ! dans 1. voyages de découverte lamarck-jean-baptiste

L’herbier de Jean-Baptiste LAMARCK (1744-1829) peut désormais être consulté en ligne !

Racheté par le Muséum en 1886 et conservé à l’Herbier National du Muséum d’histoire naturelle de Paris, cet herbier comprend plus de 19000 spécimens, rassemblés par Lamarck tout au long de sa vie grâce aux récoltes effectuées dans le monde entier par ses relations et correspondants, parmi lesquels les botanistes les plus célèbres de l’époque.

L’herbier de Lamarck numérisé regroupe aujourd’hui l’ensemble des liasses (paquets) 1 à 98 (la liasse n°7 n’existe cependant pas). Les images des planches sont présentées suivant l’ordre de rangement dans une liasse. Les liasses suivantes seront ajoutées au fur et à mesure des campagnes photographique. Chaque image contient un code barre unique qui permet la mise en relation de chaque photo avec l’enregistrement correspondant dans la base de données Sonnerat des herbiers du Muséum. Cette base est actuellement en cours de réalisation avec le concours de Marc Pignal (Herbier national P, Département de Systématique et Evolution , MNHN). Depuis cet espace, il est déjà possible d’associer les informations relatives à chaque spécimen photographié, et d’effectuer directement une recherche de spécimen dans la base de données Sonnerat.

Les images en ligne sont au format JPEG. Les planches ont été numérisées au Muséum National d’Histoire Naturelle par Vincent Leguy (Technicien CNRS), Delphine Usal (Technicienne CNRS) et Yuria Mizuta sous la direction scientifique de Pietro Corsi et Marc Pignal et sous la direction technologique de Stéphane Pouyllau (ingénieur CNRS) avec l’aide de la NumMobile développée au CRHST/CNRS.

Pour accéder à l’herbier :
1. rendez-vous à l’adresse : http://www.lamarck.cnrs.fr/herbier.php
2. cliquer l’image en bas du texte

Il vous sera possible de consulter liasse après liasse, d’agrandir les images des planches et accéder aux données d’informatisation !

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LA RECHERCHE BOTANIQUE AU COURS DES VOYAGES D’EXPLORATION SCIENTIFIQUE ORGANISES PAR L’ETAT FRANCAIS AUX 17e & 18e S.

Posté par Paul-Robert TAKACS le 28 mars 2012

Jan Vandersmissen, « Les voyages organisés par ordre du roi à Versailles », Bulletin du Centre de recherche du château de Versailles [En ligne], 4 | 2011, mis en ligne le 29 septembre 2011, URL : http://crcv.revues.org/11562 ; DOI : 10.4000/crcv.11562

 

La période des XVIIe-XVIIIe siècles fut témoin d’un changement radical de l’exploration scientifique outre-mer.

Pendant le règne du Roi-Soleil, et sous l’impulsion de Colbert, les voyageurs académiques partant de la France, ainsi que certains Français résidant dans les territoires d’outre-mer, recevaient des instructions pour mieux orienter leurs observations et améliorer la collecte de données, et ceci afin de recueillir des connaissances qui seraient utiles à l’État. Les projets à petite échelle prévalaient.

Grâce au soutien d’institutions royales comme l’Académie royale des sciences ou le Jardin du roi, des individus comme Charles Plumier, Joseph Pitton de Tournefort et Louis Éconches Feuillée ramenaient des échantillons et descriptions de « plantes utiles ».

D’autres, comme Jean Richer, faisaient des observations astronomiques dans l’hémisphère Sud, améliorant ainsi non seulement la connaissance géographique, mais aussi les techniques cartographiques et les compétences dans le domaine de la navigation.

Sous Louis XV vint une amplification des entreprises.

La rivalité avec l’Angleterre conduisait les Français vers le Pacifique. Science, exploration et géopolitique se confondaient. De vastes équipes de chercheurs montaient à bord de navires militaires. Les expéditions enrichirent les collections scientifiques de Versailles et des institutions royales à Paris.

Sous Louis XVI, ce processus culmina dans l’expédition de La Pérouse.

L’article analyse en détail trois aspects de la politique scientifique française dans le domaine de l’exploration : les mécanismes de patronage et de protection, les mécanismes d’approbation scientifique et la mise à profit des connaissances rassemblées par les voyageurs.

 

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