28 novembre 2015, Halle Pajol, Paris 18e : 7èmes RENCONTRES NATURALISTES FRANCILIENNES

Posté par Paul-Robert TAKACS le 6 novembre 2015

Pour la 7ème année consécutive, le samedi 28 novembre 2015, Natureparif invite les naturalistes, amateurs ou professionnels de la nature en Île-de-France, à participer aux Rencontres Naturalistes franciliennes.

Un sujet botanique passionnant est au programme : les plantes submontagnardes, en tant qu’indicateurs du changement climatique !

Deux autres focus intéressants : sur deux espaces à enjeux en Île-de-France : la vallée de la Bassée, ainsi que le complexe forêt de Notre Dame – forêt de Grosbois.

Intéressant encore : le débat du début d’après-midi portera cette année sur un sujet généralement cher aux observateurs : les données naturalistes. Il y sera l’occasion d’aborder la question des bases de données, de leur utilisation, leur valorisation, et leur circulation.

Le thème de l’année, les insectes ne sont pas moins intéressants, puisque c’est l’un des groupes animaux les plus en rapport avec la faune ! Il y aura donc pas moins de 8 interventions sur ce groupe !

28 novembre 2015, Halle Pajol, Paris 18e : 7èmes RENCONTRES NATURALISTES FRANCILIENNES dans assister à des conférences afficherencontresnaturalistes2015_bd-212x300

programme

8h30 : Accueil café (offert aux participants)

9h00 : Mot d’ouverture

9h15 – 10h30 : Observatoire de la biodiversité francilienne

  • Nouvel état de santé de la biodiversité francilienne – Utilisation des sciences participatives Vigie-Nature (Audrey Muratet – Natureparif)
  • Quelles menaces sur les papillons et zygènes en Ile-de-France ? – Premiers résultats de la liste rouge régionale des Rhopalocères et Zygènes (Annabelle Sueur et Alexis Borges – OPIE)
  • Bilan régional de la connaissance sur les orthoptères – Mise à jour de l’Atlas départemental des Orthoptères d’Ile-de-France (Xavier Houard – OPIE)
  • Les plantes submontagnardes, indicatrices du changement climatique – Mise en place d’un observatoire dans le PNR de la Haute Vallée de Chevreuse (Alexandra Pottier et Olivier Marchal – PNR de la Haute Vallée de Chevreuse)
  • Envolée des observations aux inventaires éclairs 2015 ! (Grégoire Loïs – Natureparif)

10h30 – 11h00 : Découvertes naturalistes

  • Nouvelle nidification du Hibou des marais en Île-de-France (Guy Keryer et co. – CERF-Bonnelles Nature)
  • Le Cuivré des marais en Nord Seine-et-Marne (Thierry Roy)

11h00 : Pause

11h15 – 13h00 : Résultats d’études

  • Quels enseignements nous apportent les collisions des insectes sur les véhicules ? – Résultats de la reproduction d’une étude menée en 1990 (Maxime Zucca – Natureparif)
  • Pollution lumineuse et chiroptères – Etude dans le Gâtinais français (Clémentine Azam – MNHN)
  • Clé d’identification numérique des insectes aquatiques d’Ile-de-France – Un outil pour les acteurs de terrain (Mathilde Delaunay – MNHN)
  • Les coccinelles d’Île-de-France – Généralités et focus sur une étude (Romain Nattier – MNHN)
  • Les Sphécidés dans les grandes cultures (Romain Le Divelec – Labo d’éco-entomologie Orléans)

13h00-14h00 : Repas offert aux participants

14h00-15h15 : Les données naturalistes

Nom des intervenants en attente

15h15 : Pause

15h30-16h15 : Espace à enjeux : la Bassée

  • Résultat de la prospection chiroptères de l’été 2014 (Christophe Parisot – Seine-et-Marne Environnement)
  • Les oiseaux d’eau nicheurs en Bassée en 2014-2015 (Jérôme Hanol – ANVL)
  • Les habitats remarquables en Bassée (Conservatoire National Botanique du Bassin Parisien) (sous réserve)

16h15-17h30 : Conférences

  • Les Sésies d’Île-de-France (André Lantz – BNEV)
  • Histoire d’un massif forestier francilien – Les milieux naturels de la forêt régionale de Grosbois et la forêt domaniale de Notre-Dame, histoire, évolutions, enjeux et perspectives. (Vincent Vignon – OGE)

informations pratiques

  • quand ? > le samedi 28 novembre 2015, de 8h30 à 18h00
  • où ? > Halle Pajol – Auberge de Jeunesse, 18/22 ter, rue Pajol – 75018 (M° Max Dormoy)
  • inscription ? > gratuite mais obligatoire, sur www.natureparif.fr
  • les cerises sur le gâteau ? > accueil café et repas du midi offert aux participants

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VEGETALISER LE BÂTI DANS LES VILLES DENSES : UN NOUVEAU MODELE URBAIN ?

Posté par Paul-Robert TAKACS le 13 mai 2015

Colloque international GRATUIT, le 19 mai 2015, organisé par la Ville de Paris, le 19 mai 2015, à l’Hôtel de ville de Paris

toiture végétalisée à Amsterdam (D.R.)

toiture végétalisée à Amsterdam (D.R.)

La végétalisation représente un atout et un enjeu importants pour les métropoles et les villes d’aujourd’hui et demain. Elle est à la fois source de bien-être, elle contribue à la lutte contre le réchauffement climatique et participe au développement de la biodiversité.

La Maire de Paris porte l’ambition de rendre Paris plus végétale en créant de nouveaux espaces verts, en donnant plus de place à la nature dans l’espace public et sur les bâtiments, avec un objectif extrêmement ambitieux de 100 hectares de toits, murs et façades végétalisés d’ici 2020, dont un tiers sera consacré à l’agriculture urbaine. Pour que la végétalisation soit partie intégrante du bâti parisien – qu’il s’agisse de constructions neuves, de rénovations ou de végétalisation de l’existant -– la ville souhaite mobiliser l’ensemble des acteurs autour de cet objectif.

Dans cette optique, la ville de Paris et ses partenaires invitent les propriétaires, les investisseurs, les professionnels de tous les métiers concernés, les habitants, les scientifiques et toutes les personnes mobilisées par cet enjeu à une rencontre internationale le 19 mai 2015 à l’Hôtel de Ville de Paris.

À travers les témoignages de villes du étrangères et françaises sur la végétalisation de leurs bâtiments, il s’agit de progresser ensemble, de montrer à tous que les projets de végétalisation en ville sont possibles. En cette année, où Paris accueille la COP 21, ce sera l’occasion de montrer l’action concrète des villes dans la lutte contre le changement climatique. Alors que la question du lien social au cœur de nos villes denses est quotidiennement posée, ces projets sont aussi de formidables vecteurs du vivre ensemble.

Pour vous inscrire cliquez ici : https://www.weezevent.com/rencontre-internationale-du-vert-a-tous-les-etages

Patrick KLUGMAN, Adjoint à la Maire de Paris en charge des Relations internationales, de la Francophonie,

Pénélope KOMITES, Adjointe à la Maire de Paris en charge des espaces verts, de la Nature, de la Biodiversité

et Jean-Louis MISSIKA, Adjoint à la Maire de Paris en charge de l’Urbanisme, de l’Architecture, des Projets du Grand Paris, du Développement Économique et de l’Attractivité

ont le plaisir de vous inviter à participer à cette rencontre.

 

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LANCEMENT D’UN CYCLE DE 8 CONFERENCES SUR L’AGRICULTURE URBAINE A PARIS LE 2 JUIN 2015

Posté par Paul-Robert TAKACS le 13 mai 2015

Jardin partagé sur le toit du gymnase, rue des Haies, Paris 20e (D.R.)

Madame Pénélope Komitès, adjointe à la Maire de Paris chargée des Espaces verts, de la Nature, de la Biodiversité et des Affaires funéraires

vous convie à la conférence inaugurale du cycle « Cultivons la ville » :

Paysage de l’agriculture urbaine dans le monde

le mardi 2 juin 2015, de 19h00 à 20h30 (accueil à partir de 18h45), au Pavillon de l’Arsenal, 21, boulevard Morland, 75004 Paris

avec:

- Mohamed Hage, fondateur et président des Fermes Lufa, première serre commerciale sur un toit au monde (Montréal, 2011)

- Andreas Graber, fondateur de UrbanFarmers, première ferme aquaponique européenne construite sur un toit (Bâle, 2012)

- Christine Aubry, ingénieur de recherches à l’Institut National de la Recherche Agronomique, spécialiste de l’agriculture urbaine dans le monde

 

Nombre de places limité > Inscriptions obligatoires sur : http://goo.gl/forms/AWtQ0ZE4EO

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MERCREDI 18 JUIN 2014, A NANTERRE (92), COLLOQUE : Pourquoi & comment utiliser des végétaux d’origine locale pour restaurer la biodiversité ?

Posté par Paul-Robert TAKACS le 11 juin 2014

diversité floristique des pelouses

Réparer la nature, restaurer ou réhabiliter les écosystèmes et les paysages perturbés par les activités humaines… Ce leitmotiv partagé par les acteurs de la production et de la commercialisation des végétaux et par les professionnels de la protection de l’environnement se heurte à l’absence sur le marché de végétaux dont la provenance locale est garantie. D’autres pays européens ont déjà développé des filières d’approvisionnement en végétaux d’origine locale (l’Allemagne, par exemple) et des labels garantissant l’origine géographique des végétaux. Des projets régionaux, locaux, voient aujourd’hui le jour en France pour mettre en place des filières de production de végétaux adaptés à des territoires spécifiques.

Quelles sont les clés de la réussite de ces initiatives territoriales ? Comment garantir l’origine géographique des végétaux sur le marché ? Quels sont les exemples probants d’une production portée par les acteurs locaux ? Comment concilier enjeux scientifiques, conservation de la diversité génétique et filière de production rentable ?
Toutes ces interrogations constitueront la trame de ce colloque du 18 juin.

Flore locale & messicoles

La provenance locale des végétaux est une nécessité écologique et économique. Elle permet de reconstituer des communautés végétales cohérentes et elle favorise la réussite des semis et les plantations avec des végétaux adaptés aux conditions locales. Les caractéristiques génétiques acquises localement par la flore sauvage au fil des siècles lui donnent en effet un avantage lorsque celle-ci est utilisée à proximité du lieu de récolte.

En France, le Ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie a lancé en 2011 un appel à projets intitulé « Conservation et utilisation durable d’espèces végétales indigènes pour développer des filières locales », dont l’objectif était la mise en place de signes de qualité pour garantir la traçabilité de ces végétaux, au travers d’une gouvernance élargie.

Le projet {flore-locale} & messicoles (2012-2014), retenu dans le cadre de cet appel à projets, a développé deux marques collectives, qui garantiront par leur règlement la traçabilité d’un matériel végétal depuis le milieu naturel dont il est issu, jusqu’à sa commercialisation. Règlements d’usage, critères d’accès et points de contrôle associés et carte du zonage des régions d’origine de ces signes de qualité seront présentés au cours de ce colloque du 18 juin.

infos et inscriptions sur > www.colloque2014vegetal-local.fcbn.fr

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